𝗝𝗼𝘂𝗿 4 : 𝗹𝗲 𝗠𝗮𝗵𝗮𝗯𝗵𝗮𝗿𝗮𝘁𝗮 𝗲𝘁 𝗖𝗮𝘁𝗵𝗲𝗿𝗶𝗻𝗲 𝗹𝗲 𝗙𝗼𝗿𝗲𝘀𝘁𝗶𝗲𝗿
Aujourd’hui, répétition dehors : j’ai raconté des extraits du Mahabharata et révisé une chanson de Catherine Le Forestier. Les montagnes ont eu l’air d’aimer le mélange « 𝘑𝘦 𝘴𝘶𝘪𝘴 𝘭’𝘦𝘢𝘶 𝘤𝘢𝘭𝘮𝘦 𝘦𝘵 𝘣𝘭𝘦𝘶𝘦 𝘌𝘵 𝘵𝘶 𝘦𝘴 𝘭𝘦 𝘴𝘰𝘭𝘦𝘪𝘭 𝘲𝘶𝘪 𝘴𝘦 𝘳𝘦𝘧𝘭𝘦̀𝘵𝘦 𝘋𝘢𝘯𝘴 𝘭’𝘦𝘢𝘶 𝘤𝘢𝘭𝘮𝘦 𝘦𝘵 𝘣𝘭𝘦𝘶𝘦 𝘌𝘵 𝘵𝘦𝘴 𝘳𝘢𝘺𝘰𝘯𝘴 𝘲𝘶𝘪 𝘥𝘢𝘯𝘴𝘦𝘯𝘵 𝘔𝘦 𝘤𝘢𝘳𝘦𝘴𝘴𝘦𝘯𝘵 𝘌𝘵 𝘮’𝘦𝘮𝘱𝘳𝘪𝘴𝘰𝘯𝘯𝘦𝘯𝘵 𝘥𝘰𝘶𝘤𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘖𝘯 𝘥𝘪𝘳𝘢𝘪𝘵 𝘥𝘦𝘴 𝘧𝘪𝘭𝘴 𝘥’𝘢𝘳𝘨𝘦𝘯𝘵 »
Vyasa avait en tête un poème. La grande histoire du monde. L’histoire de l’humanité, la grande histoire de la famille Bharata. Le poème était fin prêt dans son esprit, au bord du visible, mais il fallait quelqu’un capable de l’écrire, de transcrire le poème tel qu’il avait à le dicter : Imagine : cent mille stances ! Des portes qui s’ouvrent sans cesse et conduisent à d’autres portes…un immense poème qui déroule le cours d’un fleuve inépuisable et défie toute analyse. Imagine : prendre en note les montagnes, les fleuves, la dimension des étoiles et des planètes, l’anatomie du divin ? Qui saurait écrire chaque chose à sa place, accorder la lettre à l’esprit ? C’est Ganesha, de Dieu à la tête d’éléphant, Ganesha le gourmand, l’ironique, le rebelle, le dieu préféré des enfants qui se proposa pour ce travail, et il fut accepté.
« 𝘑𝘦 𝘴𝘶𝘪𝘴 𝘭𝘦 𝘧𝘦𝘶 𝘲𝘶𝘪 𝘥𝘰𝘳𝘵. 𝘋𝘢𝘯𝘴 𝘭𝘦 𝘷𝘦𝘯𝘵𝘳𝘦 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘣𝘳𝘢𝘪𝘴𝘦 𝘴𝘦𝘤𝘳𝘦̀𝘵𝘦 𝘑𝘦 𝘴𝘶𝘪𝘴 𝘭𝘦 𝘧𝘦𝘶 𝘲𝘶𝘪 𝘥𝘰𝘳𝘵. 𝘛𝘰𝘯 𝘴𝘰𝘶𝘧𝘧𝘭𝘦 𝘧𝘢𝘪𝘵 𝘥𝘦 𝘮𝘰𝘪 𝘜𝘯𝘦 𝘧𝘭𝘢𝘮𝘮𝘦 𝘍𝘭𝘢𝘮𝘮𝘦 𝘲𝘶𝘪 𝘯𝘢𝘪̂𝘵 𝘥𝘦 𝘵𝘦𝘴 𝘥𝘰𝘪𝘨𝘵𝘴 𝘌𝘵 𝘣𝘪𝘦𝘯𝘵𝘰̂𝘵 𝘵𝘦 𝘣𝘳𝘶̂𝘭𝘦𝘳𝘢"
𝗡𝗢𝗧𝗘𝗦 𝗱𝘂 𝗷𝗼𝘂𝗿:
𝗠𝗮𝗵𝗮𝗯𝗵𝗮𝗿𝗮𝘁𝗮 https://fr.shopping.rakuten.com/.../Biardeau-Madeleine...? 𝗖𝗮𝘁𝗵𝗲𝗿𝗶𝗻𝗲 𝗹𝗲 𝗙𝗼𝗿𝗲𝘀𝘁𝗶𝗲𝗿: https://youtu.be/3jSaxLsJOT8
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